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La Carte Visa Electron SENSEA n’est plus commercialisĂ©e par votre Caisse d'Epargne depuis le 07/12/ l’ensemble de nos cartes bancaires Le produit La Carte Visa Electron Sensea est une carte de paiement et de retrait Ă  dĂ©bit immĂ©diat, Ă  interrogation systĂ©matique du solde et utilisable en France et Ă  l’étranger. Cela permet Ă  la personne protĂ©gĂ©e d’avoir plus d’autonomie et de libertĂ© grĂące Ă  un plafond de retrait et de paiement supĂ©rieur aux cartes Equilibra. Titulaire Toute personne physique majeure titulaire d’un compte de dĂ©pĂŽt. ValiditĂ© Trois ans renouvelables par tacite reconduction. Les plafonds Plafond de retrait Selon les plafonds en vigueur dans votre Caisse d' chaque carte, le plafond de retrait est fixĂ© par le reprĂ©sentant lĂ©gal du majeur. Plafond de paiement Le plafond de paiement standard est de 2 400 € par pĂ©riode de 30 jours systĂ©matique du solde du compte avant chaque paiement. Les assurances1 de la carte Visa Electron Sensea Assurance sur compte Assurance sur compte Assurance voyage dĂ©cĂšs invaliditĂ© Assurance voyage dĂ©cĂšs invaliditĂ© Garantie achat Garantie achat Caisse d'Epargne Changer de Caisse d’Epargne 1 L’assurance de la carte Sensea est un contrat de BPCE ASSURANCES, SociĂ©tĂ© Anonyme au capital de 61 996 212€, immatriculĂ©e au Registre du Commerce et des SociĂ©tĂ©s de Paris n°B 350 663 860, entreprise rĂ©gie par le Code des assurances ayant son siĂšge social au 88 avenue de France – 75641 PARIS CEDEX 13.

Onrecense 80 minoritĂ©s ethniques, dont les Hmongs, les Buyeis, les Dongs et les Zhuangs. La plupart des groupes ethniques non officiellement reconnus en Chine sont situĂ©s dans cette province. Le Guizhou est trĂšs pluvieux. Son relief accidentĂ© l'a isolĂ© des provinces voisines. L'arrivĂ©e tardive du rail le reliant au Yunnan, au Sichuan et PrĂ©sentation Voici la 5e escale de mon projet “tour du monde“. Pour chaque pays visitĂ©, je suis la mĂȘme trame les sĂ©ances de littĂ©rature, lecture, art, musique Ă©tant Ă  placer quand on veut dans l’emploi du temps j’ai mis les sĂ©ances Ă  titre indicatif DĂ©couverte du pays Ă  partir d’indices + situer sur le planisphĂšre j’ai imprimĂ© en mode poster pour l’afficher en classe Album photo coutumes + histoire des arts Arts plastiques Lecture suivie Musique Rallye lecture Documents La fiche de prĂ©paration TĂ©lĂ©charger Les indices diaporama, carte postale, conte “Le diadĂšme de rosĂ©e” TĂ©lĂ©charger TĂ©lĂ©charger Le documentaire TĂ©lĂ©charger VidĂ©os danse du titre et du dragon Le planisphĂšre poster TĂ©lĂ©charger La page de garde planisphĂšre, drapeau, coloriage version couleur pour affichage en classe TĂ©lĂ©charger Les traces Ă©crites en histoire des arts Utilisation de QR code pour la fiche de musique Ă  scanner avec un smartphone ou une tablette. TĂ©lĂ©charger TĂ©lĂ©charger Arts plastique cerisier en fleur Fond Ă  l’encre, soleil/lune fait avec le contour d’une assiette en carton, branche Ă  l’encre de Chine, fleurs Ă  la peinture avec quelques petites boulettes de papier crĂ©pon pour mettre du relief. TĂ©lĂ©charger Lecture suivie Les 3 grains de riz chez Lutin Bazar Lien Internet Paroles et musique Si j’allais en Chine TĂ©lĂ©charger Lien Internet Rallye lecture Chine Lien Internet Le rallye copie Lien Internet Film fin de pĂ©riode Mulan 1 ou Mulan 2 Ressources utilisĂ©es

Cettedichotomie entre la Chine de l'est et la Chine de l'ouest, Une maniÚre de thématiser en quelque sorte des cartes en relief. Source : Human settlement and regional development in the context of climate change : A

La Chine est un pays d’Asie orientale. Le pays se nomme Zhongguo en en chinois. Capitale PĂ©kin. Population 2014 1,364 milliards d’habitants. Produit IntĂ©rieur Brut – PIB 2014 10,35 billions de dollars. Cartes et drapeau FrontiĂšres La Chine est dĂ©limitĂ©e par 15 000 km de frontiĂšres terrestres partagĂ©es avec 14 pays, et une façade maritime de 14 500 km. Elle est bordĂ©e, au nord, par la Russie et la Mongolie ; au nord-est, par la Russie et la CorĂ©e du Nord ; Ă  l’est, par la mer Jaune et la mer de Chine orientale ; au sud, par la mer de Chine mĂ©ridionale, le ViĂȘt Nam, le Laos, la Birmanie, l’Inde, le Bhoutan et le NĂ©pal ; Ă  l’ouest, par le Pakistan, l’Afghanistan et le Tadjikistan ; au nord-ouest, par le Kirghizistan et le Kazakhstan. La Chine possĂšde 2 900 Ăźles, dont Hainan 33 991 kmÂČ, la plus importante, situĂ©e en mer de Chine mĂ©ridionale. Au sud-est de la Chine, sĂ©parĂ©e du continent par le dĂ©troit de TaĂŻwan, se trouve TaĂŻwan, revendiquĂ©e par la Chine comme 23e province du pays. RĂ©gions L’administration locale chinoise s’articule autour de trois grands Ă©chelons. Le premier, immĂ©diatement en dessous du gouvernement central, comprend 22 provinces Shaanxi, Gansu, Qinghai, Hebei, Shanxi, Liaoning, Jilin, Heilongjiang, Shandong, Jiangsu, Zhejiang, Anhui, Jiangxi, Fujian, Henan, Hubei, Hunan, Guangdong, Sichuan, Guizhou, Yunnan et Hainan, ainsi que TaĂŻwan, revendiquĂ©e comme 23e province, 5 rĂ©gions autonomes Mongolie-IntĂ©rieure, Guangxi, Tibet, Ningxia, Xinjiang, Ă©tablies entre 1947 et 1965, et 4 municipalitĂ©s directement subordonnĂ©es Ă  l’autoritĂ© centrale PĂ©kin Beijing, Shanghai, Tianjin et Chongging. Quant au territoire de Hong Kong, il est dotĂ©, depuis son retour Ă  la Chine 1er juillet 1997, d’un statut de rĂ©gion administrative spĂ©ciale. Le deuxiĂšme Ă©chelon comprend des prĂ©fectures appelĂ©es parfois dĂ©partements, des districts et des municipalitĂ©s. Le troisiĂšme est celui des cantons et des bourgs. Principales villes Shanghai est la plus grande ville du pays, ainsi que le premier port de Chine et la sixiĂšme mĂ©tropole la plus peuplĂ©e du monde. PĂ©kin, capitale politique du pays, la deuxiĂšme ville de Chine et la huitiĂšme mĂ©tropole du monde. Viennent ensuite, toujours avec leur agglomĂ©ration, Tianjin, avant-port de PĂ©kin, au confluent de la Huai et du Grand Canal ; Shenyang ; Wuhan, port fluvial au confluent du Han shui et du Yang-tseu-kiang ; Canton , grand port maritime situĂ© Ă  l’embouchure du Zhu Jiang ; Chongqing ; Chengdu ; Xi’an ; Jinan ; Changchun ; Nankin. Relief La RĂ©publique populaire de Chine est la troisiĂšme nation du monde par sa superficie aprĂšs la Russie et le Canada et la premiĂšre par sa population. La superficie totale du pays est d’environ 9 571 300 kmÂČ. VĂ©ritable État-continent, la Chine s’étend entre 18° et 54° de latitude nord, et entre 74° et 135° de longitude est. Ce pays immense, en forme de croissant Ă©chancrĂ©, s’étire sur une longueur maximale de 5 200 km d’est en ouest, et atteint une largeur de 5 500 km du nord au sud. Une telle extension longitudinale et latitudinale explique la grande diversitĂ© des milieux naturels. La majeure partie du pays possĂšde un relief montagneux 84 p. 100 du territoire se trouvent Ă  plus de 500 m d’altitude et prĂšs de 43 p. 100 Ă  plus de 2 000 m. Les plateaux occupent 26 p. 100 de la superficie du pays ; les bassins, gĂ©nĂ©ralement accidentĂ©s et situĂ©s dans les rĂ©gions arides, environ 19 p. 100 ; les plaines ne couvrent que 12 p. 100 du territoire. Le pays prĂ©sente un Ă©tagement des reliefs, l’altitude s’abaissant, par gradins successifs, d’ouest en est, jusqu’à la mer. Les reliefs les plus Ă©levĂ©s se trouvent dans la partie occidentale du pays Tibet, Xinjiang oĂč sont situĂ©es certaines des chaĂźnes de montagnes les plus hautes du monde le Tian shan oriental et l’AltaĂŻ au nord-ouest ; le Pamir et le Karakorum Ă  l’extrĂȘme ouest ; les monts Kunlun au centre ; l’Himalaya au sud-ouest. Elles montrent, pour la plupart, une orientation est-ouest. Dans cette zone ont Ă©tĂ© recensĂ©s prĂšs de 45 000 glaciers occupant 58 000 km2. Climat En raison de son extension latitudinale, la Chine recouvre plusieurs aires climatiques la Chine septentrionale est comprise, dans son ensemble, dans la zone tempĂ©rĂ©e, avec des nuances hypercontinentales et arides au nord-ouest ; le plateau du Tibet connaĂźt un climat de montagne ; la Chine du Sud appartient Ă  la zone subtropicale, tandis que le climat devient tropical sur l’extrĂȘme sud du pays. Si les tempĂ©ratures estivales prĂ©sentent une relative uniformitĂ© sur la majeure partie du pays, les hivers en revanche se caractĂ©risent par de trĂšs forts Ă©carts thermiques entre le nord et le sud du pays. La moyenne des prĂ©cipitations annuelles est d’environ 650 mm, mais n’a que peu de signification en raison de l’ampleur des contrastes rĂ©gionaux. Cartedu relief de la Chine - Illustration libre de droits Enregistrer Description Highly detailed physical map of China in vector 1 crĂ©dit Collection Essentials pour cette image. $4 avec un ï»żDĂ©couvrez une carte de la Chine. Il s’agit ici d’un pays immense dont la population comprend plus d’un milliard d’habitants. Elle peut s’enorgueillir de possĂ©der l’une des plus anciennes civilisations du monde. Sa superficie de 9 596 000 kilomĂštres carrĂ©s la place, par ailleurs, immĂ©diatement aprĂšs la Russie et le Canada. Carte de la Chine – © Peter Hermes Furian – Au sud-est du pays, l’Himalaya, la plus haute chaĂźne de montagnes du globe, sĂ©pare la Chine de l’Inde voir la carte de la Chine sur le relief. Le Yang-tseu-kiang, le plus long fleuve de la Chine, est aussi le quatriĂšme plus long fleuve du monde. Le dĂ©sert de Taklimakan, qui se trouve dans la rĂ©gion autonome ouĂŻgoure du Xinjiang, est quant Ă  lui l’un des endroits les plus arides de la planĂšte. Vous trouverez ci-dessous la carte de la Chine. Le potentiel minier et les ressources naturelles de la Chine sont considĂ©rables. On rĂ©pertorie en effet sur l’ensemble du territoire de nombreux gisements de charbon, de pĂ©trole, de minerai de fer, de tungstĂšne, d’étain, de bauxite, de cuivre et de calcaire. Leur exploitation permet d’approvisionner l’industrie chinoise et de financer, en partie, le rapide dĂ©veloppement Ă©conomique de la Chine. Le surplus est exportĂ© Ă  l’étranger. Autre carte de la Chine – CrĂ©dit MinistĂšre des affaires Ă©trangĂšres Carte de la Chine prĂ©sentation du pays Elle est baignĂ©e au sud et Ă  l’est par la mer de Chine mĂ©ridionale et la mer de Chine orientale, qui constituent les principales dĂ©pendances de l’ocĂ©an Pacifique. La Chine orientale, et en particulier le littoral sud-est, possĂšde par consĂ©quent un climat humide caractĂ©risĂ© par des hivers beaucoup plus doux que dans le reste du pays. Comme on peut le voir sur la carte de la Chine, Ă  l’ouest, de hautes chaĂźnes de montagnes forment une barriĂšre naturelle qui isole prĂšs des deux tiers de la Chine occidentale dont le climat est relativement sec. Seules quelques minoritĂ©s ethniques comme les TibĂ©tains, les OuĂŻgours et les Mongols vivent dans cet environnement plutĂŽt hostile. Carte du relief de la Chine – Image extraite de maps-for-free Le relief sur la carte de la Chine Le relief est souvent accidentĂ© et irrĂ©gulier. Les montagnes et les collines occupent en effet prĂšs d’un tiers de la superficie totale. Il est difficile de progresser du littoral vers l’intĂ©rieur des terres en avançant vers l’ouest. Les transports sont en effet pĂ©nalisĂ©s par la prĂ©sence de toute une sĂ©rie de chaĂźnes de montagnes, de collines, de plateaux et de bassins surĂ©levĂ©s. Cette difficile ascension s’achĂšve au plateau du Tibet qui se trouve sur le versant mĂ©ridional de l’Himalaya. Carte des villes de la Chine – CrĂ©dit MinistĂšre des affaires Ă©trangĂšres Les chaĂźnes de montagnes, les plat eaux et les bassins qui se trouvent en Chine occidentale sont tous orientĂ©s vers l’est. Il s’agit de la chaĂźne de l’Himalaya, du massif du Kunlun, du Tian San, de l’Altai, du plateau du Tibet, du bassin du Tarim et du Junggar. Les ensembles montagneux qui se dressent en Chine orientale sont, quant Ă  eux, surtout orientĂ©s nord-sud. Vous pouvez observer tous ces Ă©lĂ©ments sur la carte de la Chine sur le relief. En s’entrecoupant, ces massifs montagneux forment une sorte de quadrillage caractĂ©ristique particuliĂšrement visible en Chine mĂ©ridionale. Dans le sud-ouest de la Chine, ces systĂšmes montagneux deviennent trĂšs escarpĂ©s et sont entrecoupĂ©s par de nombreux fleuves. Dans cette partie du territoire, le sous-sol est essentiellement calcaire. Le relief a Ă©tĂ© modelĂ© par l’érosion, ce qui a donnĂ© naissance Ă  des paysages spectaculaires oĂč alternent tours naturelles et sommets arrondis. Ces paysages surprenants et trĂšs pittoresques ont largement inspirĂ©s les peintres chinois. Carte vierge de la Chine – CrĂ©dit Actualitix Principaux fleuves en Chine Le Huang-He aussi surnommĂ©e fleuve jaune prend naissance dans la partie orientale du plateau du Tibet et coule vers l’est avant de se jeter dans le golfe de Po-hai. Le Mekong, le Brahmapoutre, et le Salween naissent dans l’est du Tibet et traversent ensuite l’Inde et l’Asie du Sud-Est. Au nord-est, l’Amour dessine quant Ă  lui la frontiĂšre qui sĂ©pare la Chine de la Russie. Le Xi Jiang, le plus long fleuve de Chine mĂ©ridionale, se jette dans le delta du Zhu Jiang oĂč se trouve la ville de Canton. Vous pouvez retrouver sur la carte de la Chine les plus grands fleuves. Les environnements hostiles Dans le Plateau du loess, l’environnement naturel est tout Ă  fait particulier puisque le loess s’étend sur plusieurs dizaines de milliers de kilomĂštres carrĂ©s. Ce limon calcaire d’origine Ă©olienne composĂ© de particules extrĂȘmement fines s’est formĂ© pendant des milliers d’annĂ©es grĂące aux vents secs provenant des dĂ©serts d’Ordos, d’Alxa et de Gobi. Dans certains endroits, le loess a fini par recouvrir les diffĂ©rentes formes du relief. Dans les zones oĂč la couverture vĂ©gĂ©tale s’est rarĂ©fiĂ©e, l’érosion des sols est particuliĂšrement importante. Pendant la saison des pluies, en Ă©tĂ©, le sol est alors entiĂšrement ravinĂ©. Chine sur une carte d’Asie – CrĂ©dit Actualitix La rĂ©gion oĂč le Wei He rejoint le Huang He a Ă©tĂ© surnommĂ©e le berceau de la civilisation chinoise ». Cette partie du territoire est en effet peuplĂ©e depuis la fin de l’Age de Pierre. La mise en culture progressive des terres s’est accompagnĂ©e du dĂ©frichage de la forĂȘt, ce qui a accĂ©lĂ©rĂ© l’érosion des sols. Ces derniers ont ainsi Ă©tĂ© ravinĂ©s par les pluies et les Ă©boulements de terrain sont frĂ©quemment venus s’ajouter au lit dĂ©jĂ  boueux du Huang He, aussi surnommĂ© fleuve Jaune » Ă  cause de ses eaux boueuses ou flĂ©au de la Chine » Ă  cause de ses inondations frĂ©quentes et souvent dĂ©vastatrices. Plusieurs digues et plusieurs canaux ont donc Ă©tĂ© construits afin de contenir son dĂ©bit. Le Sud-ouest du pays, caractĂ©risĂ© par d’immenses dĂ©pĂŽts calcaires et par un systĂšme hydrographique fluvial extrĂȘmement complexe, prĂ©sente d’autres difficultĂ©s. Il est en effet difficile de maintenir l’eau en surface afin de l’utiliser pour l’irrigation des champs. De plus, les grandes Ă©tendues de terres cultivables sont rares. La mise en culture des terres se heurte Ă  de nombreux problĂšmes dans l’ensemble du territoire. L’amĂ©lioration des sols, la construction des systĂšmes d’irrigation et des voies de communication sont trĂšs coĂ»teuses. Le dĂ©veloppement Ă©conomique de certaines rĂ©gions a donc souvent Ă©tĂ© entravĂ© par leur isolement gĂ©ographique. Chine sur une carte du monde – CrĂ©dit Actualitix Carte de la Chine sur le climat Climatiquement, la Chine peut ĂȘtre divisĂ©e en deux. On distingue en effet la Chine orientale humide de la Chine mĂ©ridionale au climat beaucoup plus sec. L’Est humide du pays se subdivise ensuite en plusieurs sous-rĂ©gions le sud, chaud et humide ; le sud-est tempĂ©rĂ©; le nord et le nord-est humides. Le nord-est est affectĂ© par les vents de mousson, la saison des pluies a par consĂ©quent lieu en Ă©tĂ©. La carte de la Chine ci-dessous prĂ©sente les diffĂ©rents climats prĂ©sents dans le pays. Les prĂ©cipitations dans le pays Seuls le sud et le sud-est de la Chine possĂšdent une pluviomĂ©trie suffisamment importante pour favoriser le dĂ©veloppement de l’agriculture. Dans le nord et le nord-est du pays, les prĂ©cipitations annuelles oscillent en effet entre 500 et 600 millimĂštres. Ces conditions climatiques sont peu propices Ă  la culture du riz et ne permettent aux agriculteurs de rĂ©aliser qu’une seule rĂ©colte par an. L’irrigation se rĂ©vĂšle donc indispensable. En Chine occidentale, les prĂ©cipitations sont peu abondantes. Cette rĂ©gion montagneuse est en grande partie dĂ©sertique. A Kashgar, dans le bassin de Tarim, dans l’extrĂȘme ouest de la rĂ©gion autonome ouĂŻgoure du Xinjiang et dans le Bassin du Junggar, un peu plus au nord-est, les prĂ©cipitations annuelles atteignent Ă  peine 100 millimĂštres. Toutefois Ă  Lhasa, sur le plateau du Tibet, la pluviomĂ©trie annuelle est un peu plus importante et tourne autour de 280 millimĂštres. Le dĂ©veloppement de l’agriculture est largement pĂ©nalisĂ© par cette sĂ©cheresse climatique et se limite surtout Ă  la culture de plantes capables de rĂ©sister Ă  la sĂ©cheresse comme le sorgho chinois gaoliang et le millet. L’irrigation se rĂ©vĂšle absolument indispensable dans toute cette portion du territoire, ce qui explique que le peuplement de la Chine occidentale se soit surtout effectuĂ© Ă  partir des oasis, Ă  proximitĂ© des points d’eau. Au Tibet, le problĂšme de l’eau est moins aigu, car les tempĂ©ratures sont beaucoup plus fraĂźches. L’irrigation est cependant de plus en plus utilisĂ©e afin de garantir une plus grande rĂ©gularitĂ© des rĂ©coltes. On ne peut pas le voir sur la carte de la Chine, mais en Ă©tĂ© ou en automne, la Chine est souvent balayĂ©e par des typhons dĂ©vastateurs qui se forment dans l’ouest de l’ocĂ©an Pacifique. Ils sont relativement similaires aux ouragans de l’ocĂ©an Atlantique et s’accompagnent de vents violents et de pluies torrentielles qui ne durent, en gĂ©nĂ©ral, que quelques heures. Ces typhons affectent surtout le littoral sud-est de la Chine, bien qu’ils leurs arrivent parfois de progresser vers le nord en direction du Japon. Les inondations causĂ©es par ces typhons sont souvent dĂ©sastreuses, tout particuliĂšrement dans les plaines et les bassins inondables. Les tempĂ©ratures en Chine A l’exception de rares variantes rĂ©gionales, les tempĂ©ratures varient notablement entre le nord et le sud du pays. Dans le sud du massif Qinling, qui forme le prolongement oriental de l’ensemble montagneux du Kunlung, les tempĂ©ratures annuelles demeurent Ă©levĂ©es tout au long de l’annĂ©e et les hivers sont relativement doux voir carte de la Chine sur le climat. Ainsi dans le bassin du Yang-tseu-kiang, dans le sud-est de la Chine, les hivers sont clĂ©ments et les Ă©tĂ©s particuliĂšrement chauds. Les tempĂ©ratures moyennes annuelles augmentent progressivement au fur et Ă  mesure qu’on avance vers le sud du pays, en direction des rĂ©gions cĂŽtiĂšres tropicales. Elles tombent en revanche brutalement lorsqu’on se rapproche du massif de Qinling, dans le nord de la Chine. Cette portion du territoire possĂšde en effet un climat de type continental caractĂ©risĂ© par des hivers rigoureux. Ce climat est typique des rĂ©gions de PĂ©kin, de Xi’an et de Harbin. La durĂ©e de la pĂ©riode vĂ©gĂ©tative varie d’une rĂ©gion Ă  l’autre. Il s’agit de la pĂ©riode pendant laquelle la tempĂ©rature demeure supĂ©rieure Ă  6°C pendant la journĂ©e. Au sud du Yang-tseu-kiang, la pĂ©riode vĂ©gĂ©tative dure au moins 300 jours et permet donc aux agriculteurs de rĂ©aliser deux rĂ©coltes par an. Le long du littoral mĂ©ridional et des cĂŽtes du sud-est de la Chine, elle dure toute l’annĂ©e. Les gelĂ©es demeurent extrĂȘmement rares et ne sont pas suffisamment importantes pour nuire Ă  la vĂ©gĂ©tation. Au nord, du bassin du Yang- tseu-kiang, les tempĂ©ratures chutent brusquement et la saison vĂ©gĂ©tative diminue rapidement au fur et Ă  mesure qu’on avance vers le nord du pays oĂč elle finit par ĂȘtre infĂ©rieure Ă  180 jours par an. Les villes de la Chine Les villes et leurs banlieues abritent plus de 500 millions de personnes. Parmi les plus grandes villes, on peut citer Shanghai 23 millions d’habitants, PĂ©kin 21 millions d’habitants ou Tianjing plus de 15 millions d’habitants. De nombreuses villes possĂšdent par ailleurs une population supĂ©rieure Ă  1 million d’habitants. La population urbaine ne reprĂ©sentait toutefois que de la population totale en 1990. Ci-dessous, retrouvez la carte de la Chine sur les grandes villes du pays. Les villes chinoises sont Ă  l’heure actuelle toujours en pleine expansion. Le gouvernement est donc contraint de contrĂŽler le dĂ©veloppement urbain afin d’éviter les problĂšmes de surpopulation et de chĂŽmage. Le contrĂŽle de l’immigration urbaine est sĂ©vĂšre elle nĂ©cessite l’obtention d’un permis de rĂ©sidence et d’un travail permanent. L’exode rural demeure donc maitrisĂ©. L’urbanisation progressive de la Chine constitue nĂ©anmoins l’un des facteurs clĂ©s du dĂ©veloppement Ă©conomique et de la modernisation du pays. Langues et groupes ethniques Plus qu’une question de race, ĂȘtre Chinois est un concept culturel. Etre Chinois signifie avant tout parler et se comporter comme un Chinois, en un mot se conformer en tous points au systĂšme des valeurs du pays. Les Chinois se dĂ©signent volontiers comme les Fils de Han », faisant ainsi rĂ©fĂ©rence Ă  la cĂ©lĂšbre dynastie des Han dont le rĂšgne a marquĂ© l’histoire de la Chine. La plupart des groupes ethniques qui sont entrĂ©s en contact avec les Chinois ont fini par adopter leur culture. Ce processus d’intĂ©gration culturelle continue encore de nos jours bien que quelques mesures aient Ă©tĂ© mises en place par le gouvernement pour protĂ©ger les droits et les cultures des minoritĂ©s ethniques. Traditionnellement, les minoritĂ©s sont dĂ©finies par les autoritĂ©s chinoises comme des groupes de personnes parlant la mĂȘme langue, partageant les mĂȘmes valeurs sociales et vivant dans une mĂȘme rĂ©gion. Vous pouvez observer les diffĂ©rents groupes linguistiques sur la carte de la Chine dĂ©diĂ©e aux langues. Les membres de ces communautĂ©s ne se considĂšrent pas comme des Chinois et ne revendiquent pas l’hĂ©ritage culturel des Han. Il existe 55 minoritĂ©s nationales, 27 d’entre elles regroupent au moins 100 000 personnes et les 13 autres reprĂ©sentent chacune au moins 1 million de personnes. Bien que ces minoritĂ©s soient numĂ©riquement peu importantes par rapport au reste de la population, elles jouent cependant un rĂŽle fondamental dans la sociĂ©tĂ© chinoise. Elles occupent en effet des territoires stratĂ©giques, gĂ©nĂ©ralement situĂ©s le long des frontiĂšres. Elles entretiennent Ă©galement des relations Ă©troites avec les habitants des pays voisins comme le Kazakhstan, le Kyrgyzstan, la Russie, la CorĂ©e du Nord, la Mongolie, la ThaĂŻlande et le Myanmar. Ces communautĂ©s sont donc souvent considĂ©rĂ©es comme une menace par le gouvernement chinois Les droits de ces minoritĂ©s sont nĂ©anmoins en partie protĂ©gĂ©s par la structure du systĂšme administratif chinois. La Chine comporte en effet 22 provinces, mais aussi 5 rĂ©gions autonomes qui correspondent aux 5 minoritĂ©s nationales les plus importantes. Il s’agit des Zhuang 42 millions, des Hui musulmans 4 millions, des OuĂŻgours turcs 15 millions, des Zang tibĂ©tains millions et des Mongols 21 millions. Ces communautĂ©s vivent respectivement dans les rĂ©gions autonomes de Guangxi Zhuangzu, de Ninxia Huizu, de Xinjiang, de Qinghai Tibet et de la Mongolie intĂ©rieure entre la Mongolie et le nord de la Chine. Il existe Ă©galement des prĂ©fectures et des comtĂ©s autonomes occupĂ©s par des minoritĂ©s numĂ©riquement moins importantes. Ce systĂšme administratif tente d’accorder aux minoritĂ©s ethniques des droits politiques comparables Ă  ceux des Han Chinois. Le mandarin basĂ© sur un dialecte parlĂ© dans la rĂ©gion de Beijing est devenu la langue officielle de la Chine. Les minoritĂ©s cohabitent en gĂ©nĂ©ral sans problĂšme avec les Chinois et le gouvernement tente de les encourager Ă  dĂ©velopper leur Ă©conomie afin de leur permettre de rattraper l’économie chinoise. La religion Avant la rĂ©volution communiste, de nombreuses religions Ă©taient pratiquĂ©es dans l’ensemble de la Chine. Le taoĂŻsme et le confucianisme Ă©taient de loin les plus rĂ©pandus. Ces deux systĂšmes philosophiques ont tous deux pris naissance en Chine, Ă  l’époque de l’Age d’or de la philosophie chinoise, plusieurs siĂšcles avant le dĂ©but de l’ùre chrĂ©tienne. Vous pouvez consulter la carte de la Chine sur les religions pour en savoir plus. Le bouddhisme, aprĂšs s’ĂȘtre dĂ©veloppĂ© en Inde, s’est ensuite infiltrĂ© en Chine autour du Ier siĂšcle aprĂšs Il s’agit d’une religion plus conventionnelle et moins Ă©litiste professĂ©e par prĂšs de 68 millions de Chinois, qui sont cependant rarement pratiquants. Avant 1949, les croyances dites traditionnelles Ă©taient Ă©galement trĂšs nombreuses. Leur culte s’adressait Ă  des dieux locaux et leurs rites Ă©taient relativement proches du bouddhisme et du taoĂŻsme. Les missionnaires chrĂ©tiens se sont introduits en Chine Ă  partir du XVIIe siĂšcle, suivis au XIXe siĂšcle par les missionnaires protestants. Les conversions demeurĂšrent cependant peu nombreuses, car la religion chrĂ©tienne Ă©tait associĂ©e dans l’esprit des Chinois Ă  l’impĂ©rialisme occidental. L’islam, originaire de l’Asie centrale, est aujourd’hui pratiquĂ© par environ 4 millions de Chinois. C’est Ă©galement la religion prĂ©dominante de la rĂ©gion autonome de Ningxia Huizu. Les communistes ont dĂ©couragĂ© la pratique de la religion qui Ă©tait considĂ©rĂ©e par le gouvernement comme anti-socialiste. Pendant la rĂ©volution communiste, de nombreux temples et de nombreuses Ă©glises ont Ă©tĂ© dĂ©truits et leurs terres ont Ă©tĂ© confisquĂ©es. Pendant la rĂ©volution Culturelle, de 1966 Ă  1977, les Chinois pratiquant un culte religieux Ă©taient systĂ©matiquement persĂ©cutĂ©s. Cette situation a pris fin en 1977 avec la rĂ©ouverture de plusieurs temples bouddhistes. Les chrĂ©tiens ont de nouveau Ă©tĂ© autorisĂ©s Ă  assister aux messes Ă  partir de la mĂȘme pĂ©riode. Actuellement, on estime que seulement 2 millions de Chinois sont pratiquants. Le gouvernement demeure cependant extrĂȘmement rĂ©servĂ© Ă  l’égard des pratiques religieuses, surtout lorsqu’elles impliquent la participation de reprĂ©sentants Ă©trangers.
Carte(format poche) de l'ßle de MadÚre publiée par Freytag & Berndt. Cette carte détaillée est plastifiée, donc étanche et résistante à la déchirure, et met en évidence les 5 meilleurs choix dans cinq catégories : magasins, restaurants et cafés, la culture, la vie nocturne et sites touristiques.

La Chine est l'une des quatre civilisations anciennes du monde, son histoire Ă©crite remonte Ă  plus de 3000 ans sous le rĂšgne de la dynastie Shang 1600 avant avant de la Chine jusqu'Ă  nos jours peut se diviser comme suit la pĂ©riode postĂ©rieure Ă  1600 avant en Chine, principalement dĂ©crite par la lĂ©gende et les Ă©vidences prĂ©historiques. L'Ăšre de la Chine antique s'Ă©tend de 1600 avant avant S’en suivent l'Ăšre impĂ©riale de 221 avant – 1912 aprĂšs l'unification de la Chine sous le rĂšgne Qin jusqu'Ă  la fin de la dynastie Qing, et, enfin les pĂ©riodes de la RĂ©publique de Chine de 1912-1949 et de la Chine moderne de 1949 Ă  nos de l'histoire chinoiseCliquer Ă  agrandirChronologie des dynasties chinoisesDynastieUnifiĂ©/DivisĂ©AnnĂ©esDurĂ©eNombre d'empereursDynasties mythiquesDynastie XiaUnifiĂ©2070 av. - 1600 av. PrĂ©-ImpĂ©rialesDynastie ShangUnifiĂ©1600 - 104655431Dynastie des Zhou occidentauxUnifiĂ©1046 - 77127512Dynastie des Zhou orientaux Le pouvoir central770 - 25651425PĂ©riode des Printemps et des Automnes De nombreuses principautĂ©sDivisĂ©722 - 476246PĂ©riode des Royaumes combattants Les 7 principales principautĂ©sDivisĂ©475 - 221254Dynasties impĂ©rialesDynastie QinUnifiĂ©221 - 206153Dynastie des Han occidentauxUnifiĂ©206 av. - 9 ap. XinUnifiĂ©9 - 23151Dynastie des Han orientauxUnifiĂ©23 - 22019514Trois Royaumes de ChineDivisĂ©220 - 28045Wei 6  Wu 7  Shu 2Dynastie des Jin occidentauxUnifiĂ©265 - 317525Dynastie des Jin orientauxUnifiĂ©317 - 42010311Dynasties du Nord et du SudDivisĂ©420 - 581161Dynastie SuiUnifiĂ©581 - 618374Dynastie TangUnifiĂ©618 - 90728924PĂ©riode des Cinq Dynasties et des Dix RoyaumesDivisĂ©907 - 96053Dynastie LiaoUnifiĂ©916 - 11252099Dynastie des Song du NordUnifiĂ©960 - 11271679Dynastie des Song du SudUnifiĂ©1127 - 12791529Dynastie JinUnifiĂ©1115 - 123411910Dynastie YuanUnifiĂ©1271 - 13689717Dynastie MingUnifiĂ©1368 - 164427616Dynastie QingUnifiĂ©1644 - 191226712La Chine prĂ©historique — jusqu'Ă  1600 avant chronologie de la Chine prĂ©historique se dĂ©cline en trois grandes parties l'Age palĂ©olithique, l'Age NĂ©olithique, et l'Age de donnĂ©es historiques fiables, l'essentiel de la vie prĂ©historique en Chine se rattache Ă  des hypotheses, au sujet des activitĂ©s socioculturelles, Ă©laborĂ©es Ă  partir des sites archĂ©ologiques et des reliques exhumĂ©es. Le reste Ă©mane de ce qui pourrait, Ă©ventuellement, correspondre Ă  la vĂ©ritĂ© dans la mythologie La dynastie Xia 2070 avant avant dĂ©but de l'Age de Bronze en ChineVraisemblablement, en ce qui concerne la premiĂšre dynastie de la Chine antique, on estime que la dynastie Xia constituĂ©e de plusieurs clans, vivait sur les bords du fleuve Jaune. La plupart des Ă©vidences liĂ©es Ă  cette dynastie, y compris son nom, reste, peut-ĂȘtre, juste une Ă  cette Ă©poque, il existait bien une civilisation du fleuve Jaune de l'Age du Bronze installĂ©e Ă  Erlitou dans le Henan. Cependant les vestiges ne confirment pas, de maniĂšre probante, qu'il s'agissait bien de la dynastie Xia dĂ©crite dans les Ă©crits Chine ancienne 1600 avant avant civilisation chinoise dĂ©bute, le long du fleuve Jaune, sous la pĂ©riode Shang. A partir de lĂ , elle va se rĂ©pandre, peu Ă  peu, vers d'autres rĂ©gions de la Chine jusqu’à ce que la culture de l'Age de Bronze atteigne son apogĂ©e. Puis, durant l’ùre fĂ©odale Zhou, vont Ă©merger les philosophies traditionnelles chinoises comme le confucianisme et le taoĂŻsme tandis que la Chine s'agrandit en territoire et en et pendant plus de 200 ans, la Chine ancienne se morcelle en plusieurs royaumes belligĂ©rants avant de se rĂ©unifier et de marquer le commencement de l'Ăąge ImpĂ©rial de la La dynastie Shang 1600 avant avant de la dynastie ShangLa dynastie Shang est la premiĂšre dynastie connue grĂące Ă  des donnĂ©es historiques existantes constituĂ©es d'inscriptions figurant sur des objets de bronze et en os. Elle avait pour capitale Yin Anyang et son territoire s'Ă©tendait entre les cours infĂ©rieurs du fleuve Jaune et du fleuve La dynastie Zhou 1045 avant 221 avant de la dynastie Zhou occidentauxLes principales philosophies et religions, qui apparaissent Ă  cette Ă©poque, constitueront les fondements des croyances chinoises des Ăšres postĂ©rieures, comme le Confucianisme et le de la dynastie Zhou orientauxCette Ăšre se divise en trois pĂ©riodes la dynastie Zhou de l'Ouest 1045–771 avant la PĂ©riode du Printemps et de l'Automne 770–476 avant et la PĂ©riode des Etats en guerre 475–221 avant Elle va servir de transition entre la sociĂ©tĂ© clanique et la sociĂ©tĂ© chinois 221 avant – 1912 aprĂšs pĂ©riode de la Chine impĂ©riale reprĂ©sente la plus grande partie de l'histoire chinoise. Au grĂ© des ascensions et des Ă©checs au cours de chaque dynastie, la civilisation chinois s'est enrichie, devenant prospĂšre en temps de paix puis a dĂ» se rĂ©former aprĂšs les rĂ©bellions et les dynasties Qin et Han 221 avant –220 aprĂšs L'Ă©phĂ©mĂšre dynastie Qin fut la premiĂšre Ă  unifier la Chine en tant que royaume sous l'Ă©gide d'un empereur Ă  la place d'un clan dirigeant. Elle instaure une administration bureaucratique qui perdurera sous la dynastie Han, plus La dynastie Qin 221 avant avant Carte de la dynastie QinLe Premier Empereur a Ă©tĂ© le premier Ă  utiliser le titre d'empereur, en Chine. Avec son Etat, il unifie la Chine grĂące Ă  ses conquĂȘtes de royaumes belligĂ©rants et en dirigeant le pays avec une trĂšs grande dynastie Qin 221–206 avant la premiĂšre mais la plus brĂšve dynastie impĂ©riale en Chine, doit sa cĂ©lĂ©britĂ© Ă  ses constructions grandioses comme la Grande Muraille et l'ArmĂ©e de terre Bang, un chef paysan, renverse, alors, le rĂ©gime impopulaire des Qin pour y Ă©tablir la dynastie La dynastie Han 206 avant – 220 aprĂšs de la dynastie Han occidentauxPlus longue dynastie impĂ©riale, la dynastie des Han doit sa popularitĂ© pour avoir initiĂ© le commerce de la Route de la Soie, assurant, ainsi, la liaison entre la Chine et l'Asie centrale et l'Europe. Au cours de cette Ăšre, l'agriculture, l'artisanat et le commerce vont connaĂźtre un essor incroyable. Dans le mĂȘme temps, le pays composĂ© de diffĂ©rentes ethnies tend Ă  s’ de la dynastie Han orientauxLe rĂ©gime Han atteindra sa plus grande prospĂ©ritĂ© sous l'empereur Wudi 140-87 avant PĂ©riode des Trois Royaumes 220–581Lorsque la dynastie Han tombe dans le dĂ©clin, le pays se divise et commence, alors, une pĂ©riode d'instabilitĂ© dite “PĂ©riode des Trois Royaumes 220–265”. La dynastie Jin conquiert, ensuite, la plus grande partie de la Chine 265–420. Son emprise sur le pouvoir va s’avĂ©rer Ă©phĂ©mĂšre avant que la Chine ne connaisse, de nouveau, un Ă©clatement en deux parties avec les dynasties du Nord et du Sud 420–589.La Chine mĂ©diĂ©vale 581–1368En Chine, le Moyen Age enregistre une croissance soutenue Ă  travers une sĂ©rie de changements au niveau du Chine va passer d'un statut de quatre royaumes en guerre Ă  une nation des plus culturellement sophistiquĂ©es et technologiquement dĂ©veloppĂ©es. Finalement, elle sera absorbĂ©e par l'ascension et la chute du phĂ©nomĂ©nal empire mongol dont les rĂ©percussions se ressentirent jusqu'en La dynastie Sui 581–618Si l’on voulait, de nouveau, rĂ©unifier la Chine, il fallait, une dynastie rappelant le pouvoir et la vision de la dynastie Qin. La dynastie Sui sut rĂ©tablir, dans le pays, les fondements d'un Ăąge mĂ©diĂ©val plus 581, aprĂšs avoir usurpĂ© le trĂŽne dans le nord et s’ĂȘtre gratifiĂ© du titre d'empereur Wen, Yang Jian unifie le reste de la Chine sous la dynastie que courte, cette dynastie va, en revanche, excercer, d’une façon intense, entrecoupĂ©e de grandes conquĂȘtes et d’importantes rĂ©alisations, comme le Grand Canal et la reconstruction de la Grande Muraille. Cette dynastie et celle des Tang qui va lui succĂ©der, 618-907 vont reprĂ©senter une pĂ©riode incroyable de prospĂ©ritĂ© et de La dynastie Tang 618-907Carte de la dynastie TangLa dynastie Tang symbolise l'Ăąge d'or pour la poĂ©sie, la peinture, la poterie vernie tricolore, et la gravure sur elle, le pays va subir un demi siĂšcle de divisions appelĂ© “la pĂ©riode des Cinq Dynasties et des Dix Royaumes” 907–960 jusqu’à ce qu’un des royaumes du nord ne dĂ©fie ses voisins et rĂ©ussisse Ă  prendre le contrĂŽle d'une Chine rĂ©unifiĂ©e mais aux contours plus restreints qu' La dynastie Song 960–1297Carte de la dynastie Song du NordDurant la dynastie des Song, l'artisanat de mĂȘme que les commerces intĂ©rieur et extĂ©rieur connaissent un boom retentissant. De nombreux marchands et voyageurs arrivent, alors, de toutes les parties du monde pour tenter leur chance dans ce pays encore inconnu. Lors de cette pĂ©riode, se poursuivent les amĂ©liorations pour les "quatre grandes inventions" du peuple chinois le papier, l'impression, le compas et la poudre Ă  canon qui remontent Ă  l’ Song vont, ensuite, cohabiter avec la dynastie Liao 907–1125 dans le nord- est et avec la dynastie Xia de l'Ouest dans le nord- ouest 1038-1227. Cette Ă©poque apparaĂźt comme la pĂ©riode dĂ©terminante dans les grandes avancĂ©es technologiques et de La dynastie Yuan 1279–1368 — le rĂšgne mongolEn 1206, Genghis Khan fĂ©dĂšre toutes les tribus de Mongolie, et fonde le khanat mongol, qui s'Ă©tendra, plus tard sur une surface, sans prĂ©cĂ©dent, de l' 1271 Ă  1279, son petit fils, Kublai Khan, conquiert, finalement, les Song de Chine pour Ă©tablir la prospĂšre dynastie Yuan. Il nomme Dadu connue, de nos jours, sous le nom de PĂ©kin comme capitale de la premiĂšre dynastie de la Chine dirigĂ©e par un pouvoir dĂ©veloppement commercial et technologique, ainsi que son introduction au monde entier se maintiennent sous le rĂšgne mongol. AprĂšs avoir visitĂ© le pays “de long en large”, l'aventurier vĂ©nitien Marco Polo, relate trĂšs prĂ©cisĂ©ment, la culture et les merveilles de la Chine dans son ouvrage "Voyages". Les derniĂšres dynasties 1368–1912 — Renaissance et plus d'influences Ă©trangĂšres Sous les dynasties Ming et Qing, la structure sociale impĂ©riale la classe royale/riche, la classe des Ă©rudits, la classe ouvriĂšre, et la classe des esclaves ainsi que le systĂšme d'examens impĂ©rial se perpĂ©tuent. Cependant, ces derniers vont devenir de moins en moins adaptĂ©s au cours des pĂ©riodes d’explorations, de colonisation et d’ La dynastie des Ming 1368–1644En 1368, Zhu Yuanzhang remplace l'empire mongol dĂ©clinant par la dynastie Ming, qui sera la derniĂšre dynastie chinoise ethnique, coincĂ©e entre deux autres son fils et successeur, Zhu Di, accĂšde au trĂŽne, celui-ci dĂ©bute la construction de la CitĂ© Interdite. En 1421,PĂ©kin devient, officiellement, la capitale de son Ăšre de renouveau et de prospĂ©ritĂ© pour les ressortissants chinois va, peu Ă  peu, dĂ©cliner en raison des dĂ©sastres naturels et de la cupiditĂ© de ses dirigeants, Ă  l’image de nombreuses dynasties avant La dynastie des Qing 1644–1911A la fin de la dynastie Ming, les mandchous, installĂ©s dans le nord-est de la Chine, grandissent en force et vont attaquer l’empire pendant plus de trois gĂ©nĂ©rations, pour finalement s'imposer et fonder la dynastie Kangxi 1661–1772 et l'empereur Qianlong 1735–96 restent les deux plus cĂ©lĂšbres empereurs de cette dynastie dont les rĂšgnes symbolisĂšrent "un Ăąge d'Or de prospĂ©ritĂ©".Toutefois, la derniĂšre dynastie chinoise Owever, se souvient, avec honte, du commerce forcĂ© de la fin de la pĂ©riode des Qing. En effet, depuis la guerre de l’Opium en 1840, la Chine va denvenir un pays mi-colonisĂ© et territoire de la Chine moderne s’instaure pendant cette pĂ©riodeLa RĂ©publique de Chine 1912–1949TiananmenLa rĂ©volution rĂ©publicaine de 1911, dirigĂ©e par Sun Yat-sen, met fin au rĂšgne de la dynastie Qing et on assiste Ă  l'abolition de l'empire. Cependant, la RĂ©publique de Chine ne pouvant s'Ă©tablir, solidement, Ă  travers toute la Chine une guerre civile va dĂ©chirer le pays pendant plusieurs Chine moderne 1949–à nos joursAprĂšs la crĂ©ation de la RĂ©publique Populaire de Chine en 1949, le pays va rentrer dans une Ăšre de stabilitĂ©. En outre, la politique de rĂ©forme et d'ouverture lancĂ©e en 1978 entraĂźne le pays dans une spectaculaire croissance Ă©conomique qui se maintient, encore, aujourd’hui.

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